Le Live'World'Withgic

Le Live’World’Withgic est une dimension ouverte du collectif des Live’World. Elle est connue pour être le berceau de la Meldorirt, de Mirénem, du développement des sorcières et d’une grande part du projet de la grande prêtresse. Son possesseur est inconnu à ce jour et tout le monde se plaît à la considérer comme une dimension publique qui va le rester. Elle ne coûte au joueur qu’un seul code.

Le Live’World’Withgic est une très grande dimension composée de nombreux systèmes stellaires qui forment de nombreuses galaxies. Cependant, dans le cadre du BDCC, nous n’aborderons que la planète de Wiwim, dans la galaxie nommée « Rillaina’s Song » ou « Chant de Rillaina ». Cette planète est divisée en dix puissances majeures qui se partagent ses six continents : Tao-Vi-Miën, Ronwerd, Meldon, Wimvers, Wistrimyön, Lamïma, Zruptr, Marchahann, Elvëli et les Etats Unis de Toltua. Ces Etats se partagent le paysage selon la carte ci-dessous :

La planète de Wiwim n’a pas seulement la chance d’être partagée en autant de puissance différente : elle bénéficie aussi d’un grand éventail de possibilité en matière de religion ! En effet, on les compte au nombre de huit et elles sont aussi diverses que les Adorateurs de la toute puissance, l’Eflisme, la Meldorirt, le Némalisme, le Réalisme, le Ténébrisme, le Yégirisme et le Shintoïsme. Et, bien-sûre, d’autre cultes sont pratiqués à moindre mesure. On note, malgré cette hétérogénéité des religions, une grande tendance à la Meldorirt sur le territoire, sans doute puisque c’est ici qu’elle est née. Pour mieux résumer la façon dont les religions sont répandues sur le territoire, on peut se fier à la carte ci-dessous, schéma des principaux regroupements de fidèles des différentes religions :

La particularité du Live’World’WithGic dans le projet de la prêtresse est sans aucun doute sa diversité vertigineuse des espèces et races naturellement présentes. On note par exemple la génération naturelle et massive de sorcières, d’Elfes, de Fées et de Métamorphes ! Pour shématiser les plus grands foyers de chaque espèce, une carte a été confectionnée. Il faut cependant garder à l’esprit que ce n’est que schématiser, et que la répartition est en réalité bien plus complexe. Mais il peut être intéressant de la consulter :